Shinto - Ramatuelle
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Kami
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Punk
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Kami
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. . . « Tout être qui possède certaine qualités éminentes sortant de l'ordinaire, ou qui est impressionnant de nature, est appelé Kami. ».
. . . 'Kojiki-den', par Motoori Norinaga (1730-1801, célèbre philologue des classiques japonais)
. . . « Un Kami est une divinité ou un esprit (éléments de la nature ou forces créatrices de l'univers) vénéré dans le Shinto, ou Kami-no-michi. L'équivalent chinois de Kami est shen,"esprit"... »
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. . . « ...le Shintô n'est pas une religion comme les autres. Totalement dépourvu de dogmes, n'ayant pour Écritures sacrées que des textes courts, tardifs et d'interprétation difficile, n'ayant jamais codifié de règles morales, n'imposant aucun rituel, le Shintô est plutôt pour le japonais une prise de conscience des liens qui l'unissent à ses semblables, à la Nature et à la Divinité. (§ 2, p. 7)
. . . ... L'absence de dogme et une totale liberté de pensée étant deux traits fondamentaux de la religion shintô, les opinions de mes conseillers et informateurs ont souvent différé... tant des grands prêtres que des professeurs des universités shintô. (§ 2, p. 11)
. . . 'Les Dieux Nationaux du Japon', par Jean Herbert, Éditions Albin Michel
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. . . « Tout être qui possède certaine qualités éminentes sortant de l'ordinaire, ou qui est impressionnant de nature, est appelé Kami. ».
. . . 'Kojiki-den', par Motoori Norinaga (1730-1801, célèbre philologue des classiques japonais)
. . . « Un Kami est une divinité ou un esprit (éléments de la nature ou forces créatrices de l'univers) vénéré dans le Shinto, ou Kami-no-michi. L'équivalent chinois de Kami est shen,"esprit"... »
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. . . « ...le Shintô n'est pas une religion comme les autres. Totalement dépourvu de dogmes, n'ayant pour Écritures sacrées que des textes courts, tardifs et d'interprétation difficile, n'ayant jamais codifié de règles morales, n'imposant aucun rituel, le Shintô est plutôt pour le japonais une prise de conscience des liens qui l'unissent à ses semblables, à la Nature et à la Divinité. (§ 2, p. 7)
. . . ... L'absence de dogme et une totale liberté de pensée étant deux traits fondamentaux de la religion shintô, les opinions de mes conseillers et informateurs ont souvent différé... tant des grands prêtres que des professeurs des universités shintô. (§ 2, p. 11)
. . . 'Les Dieux Nationaux du Japon', par Jean Herbert, Éditions Albin Michel
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