Shinto - Ramatuelle
La Voie de l'Union de la Lumineuse énergie
du centre de l'univers avec
la Lumineuse énergie de notre centre profond
du centre de l'univers avec
la Lumineuse énergie de notre centre profond
SHINTO
Kokoro, Hrdaya, Tanden médian
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. . . « Dans la troisième roue, celle du cœur (hrdaya), l'énergie devient très subtile. Aussitôt éveillé, ce centre transmet spontanément sa puissance aux autres (agissant exclusivement sur lui on évite nombre d'accidents et de difficultés associés à l'éveil de muladhara et de brumadhya). Bien que la kudalini puisse s'éveiller à partir de n'importe quel centre puisqu'elle réside également en tous, c'est du cœur qu'elle s'ébranle de préférence car, d'après Abhinavagupta, le brassage des souffles puis leur fusion s'effectuent dans le cœur. Quant tout y est rassemblé, on jouit de la béatitude. »
. . . 'La Kundalini, l'Énergie des Profondeurs' par Lilian Silburn, p. 44-45
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. . . « Les trois étapes de l'œuvre (alchimique) se passe respectivement dans les trois champs (de cinabre) en commençant par celui du bas pour l'alchimie masculine. Au contraire, en alchimie féminine, le travail commence par le champ de cinabre médian...
. . . Pour la culture féminine, la poitrine est le siège du souffle de vie, et le procédé est très simple : chez l'homme, on parle de fonte du souffle (lianqi), chez la femme, on parle de fonte du corps (lianxing). La femme commence par accumuler le souffle dans sa poitrine ; le chaudron une fois apaisé, elle érige le fourneau et applique le procédé de fonte du yin suprême (La femme se concentre sur le cœur et nourrit sa force spirituelle, de sorte qu'elle sublime le feu, elle fait descendre le souffle dans ses reins, puis de là le fait remonter jusqu'au Niwan dans le cerveau. On appelle cela "transmuter la perfection" [huazhen]). C'est le procédé le plus facile pour accomplir le Dao. »
. . . 'Immortelles De La Chine Ancienne - Taoïsme et alchimie féminine' par Catherine Despeux .
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. . . « Dans la troisième roue, celle du cœur (hrdaya), l'énergie devient très subtile. Aussitôt éveillé, ce centre transmet spontanément sa puissance aux autres (agissant exclusivement sur lui on évite nombre d'accidents et de difficultés associés à l'éveil de muladhara et de brumadhya). Bien que la kudalini puisse s'éveiller à partir de n'importe quel centre puisqu'elle réside également en tous, c'est du cœur qu'elle s'ébranle de préférence car, d'après Abhinavagupta, le brassage des souffles puis leur fusion s'effectuent dans le cœur. Quant tout y est rassemblé, on jouit de la béatitude. »
. . . 'La Kundalini, l'Énergie des Profondeurs' par Lilian Silburn, p. 44-45
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. . . « Les trois étapes de l'œuvre (alchimique) se passe respectivement dans les trois champs (de cinabre) en commençant par celui du bas pour l'alchimie masculine. Au contraire, en alchimie féminine, le travail commence par le champ de cinabre médian...
. . . Pour la culture féminine, la poitrine est le siège du souffle de vie, et le procédé est très simple : chez l'homme, on parle de fonte du souffle (lianqi), chez la femme, on parle de fonte du corps (lianxing). La femme commence par accumuler le souffle dans sa poitrine ; le chaudron une fois apaisé, elle érige le fourneau et applique le procédé de fonte du yin suprême (La femme se concentre sur le cœur et nourrit sa force spirituelle, de sorte qu'elle sublime le feu, elle fait descendre le souffle dans ses reins, puis de là le fait remonter jusqu'au Niwan dans le cerveau. On appelle cela "transmuter la perfection" [huazhen]). C'est le procédé le plus facile pour accomplir le Dao. »
. . . 'Immortelles De La Chine Ancienne - Taoïsme et alchimie féminine' par Catherine Despeux .
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